
Bienvenue chez Azur avec
Adrian
Bienvenue chez Azur : l’humain au cœur de la recherche
At Azur Health Science, people are at the core of everything we do.
Dans cette série, nous vous présentons les équipes qui œuvrent derrière nos travaux scientifiques — en commençant par nos experts en rédaction médicale, qui accompagnent les essais cliniques, les documents réglementaires et la communication scientifique.
✨ Aujourd’hui, nous mettons à l’honneur Adrian Tilly, qui nous parle de son parcours, de ses passions et de son rôle en tant que Directeur des opérations chez Azur Health Science.
Nous sommes très heureux d’accueillir Adrian avec nous aujourd’hui, pour le premier portrait de Bienvenue chez Azur!
Pour commencer, parle-nous de ton rôle et de ta contribution au sein de l’équipe.
En tant que Directeur des opérations (COO), mon rôle consiste à accompagner les équipes au quotidien, à veiller à la fluidité des échanges et au respect des processus. Ce qui m’anime avant tout, c’est de favoriser une collaboration harmonieuse, dans une équipe soudée où chacun avance ensemble.
Je souhaite créer un
Je veille à ce que les opérations quotidiennes soient claires et compréhensibles pour tous. Il y a une grande diversité de rôles à coordonner : les développeurs, les rédacteurs, mais aussi les équipes marketing et administratives. Chacun est respecté dans son expertise, ce qui crée une collaboration agréable et efficace. C’est gagnant-gagnant.
Quels sont les défis de la rédaction médicale ?
Quand j’ai commencé ce métier de rédacteur médicale, le plus gros défis était de commencer quelque chose de nouveau. Savoir quoi écrire où encore maitriser un contenu scientifique inconnu.
Avec le temps, j’ai compris que l’un des plus grands défis aujourd’hui est de collaborer efficacement avec l’équipe du client. Il s’agit bien sûr de produire un document conforme aux plus hauts standards de qualité, mais aussi de rendre le processus agréable — pour eux comme pour nous. Dans ce contexte, une communication claire est essentielle. D’ailleurs, je suis convaincu que les compétences relationnelles sont tout aussi importantes que les compétences rédactionnelles. Il faut savoir travailler avec les gens, guider l’équipe, fournir les informations nécessaires et faire en sorte que chacun se sente écouté. Au final, l’objectif est qu’ils se sentent en confiance, qu’ils sachent que tout est bien maîtrisé.
Au-delà de la communication, un autre défi majeur est la flexibilité. Par exemple, si nous ne réagissons pas assez rapidement avec un document ou une soumission, le client peut décider de le faire relire par quelqu’un d’autre. Il faut donc rester adaptable, trouver des solutions créatives pour avancer, et savoir s’ajuster — même lorsque certaines choses nous sont imposées. L’essentiel est de garder un état d’esprit positif et de réfléchir de manière efficace.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton métier ?
Créer une bonne relation avec le client est essentiel. D’une certaine manière, c’est ironiquement presque secondaire de savoir quel type de document on rédige — car au fond, ce qui compte vraiment, c’est le lien que l’on construit en travaillant ensemble. Et c’est justement cet aspect relationnel qui est le plus agréable dans mon métier.
C’est aussi une dimension essentielle du rôle de Directeur des opérations. Ce qui me procure le plus de satisfaction, c’est de voir quelqu’un évoluer. Pouvoir accompagner une personne dans son parcours, l’aider à passer d’un point A à un point B — c’est profondément gratifiant.
Comment ton parcours t’a-t-il mené jusqu’ici ?
Tu es préssé ? (rires) J’ai eu beaucoup de chance — mon parcours a été très varié. L’une des plus grandes leçons que j’en retire, c’est l’importance de la résilience.
J’ai terminé un master en recherche, avec un projet portant sur la production de composés gras — comme ceux que l’on trouve dans l’huile de poisson — à partir de champignons. Mais je n’ai pas réussi à trouver un emploi dans le domaine scientifique. Pendant deux ans après mon diplôme, j’ai postulé à de nombreux postes. J’ai travaillé un temps chez Starbucks, mais ce n’était pas épanouissant. Ensuite, je me suis lancé en tant que photographe de mariage indépendant pendant trois ans. Malheureusement, le projet ne progressait pas comme je l’espérais, alors j’ai décidé d’arrêter.
Plus tard, ma femme Sarah — qui est aujourd’hui PDG d’Azur — avait été embauchée à l’époque comme rédactrice médicale, ce qui nous a amenés à déménager à Fréjus, sur la Côte d’Azur. Quand l’opportunité s’est présentée pour elle, je lui ai dit : “C’est génial ! Allons-y.” Et c’est là que j’ai moi aussi commencé à travailler dans la rédaction médicale. Au début, il s’agissait plutôt de contrôles qualité que de rédaction à proprement parler, puis j’ai eu envie d’évoluer. C’est à ce moment-là que j’ai été embauché comme rédacteur médical dans une entreprise.
Sarah et moi avons toujours eu l’âme entrepreneuriale. En 2017, on s’est lancés et on a fondé Azur Health Science — juste tous les deux. On n’avait pas de plan grandiose, tout s’est fait de manière très organique. Le travail affluait, et on ne voulait pas dire non. Alors on s’est dit : “Et si on commençait à recruter doucement ?” Et c’est comme ça que l’entreprise a grandi.
Nous visons désormais les 100 employés d’ici 2028. Ce qui est vraiment gratifiant, c’est d’avoir grandi de manière organique — en partant de Sarah et moi, en prenant des responsabilités, en accompagnant d’autres rédacteurs dans leur évolution, et en bâtissant une entreprise capable de promouvoir ses services. J’aime particulièrement cette dimension commerciale : aller chercher de nouveaux clients via les réseaux sociaux ou d’autres canaux.
Au final, je pense que la plus grande leçon, c’est d’être résilient. Continuer à avancer, même si ce n’est pas dans la direction que l’on avait imaginée au départ. L’essentiel, c’est de ne pas s’arrêter.
Quel est l’histoire derrière ce nom si unique tel que Azur Health Science?
Nous étions très nostalgiques lorsque nous avons emménagé à Fréjus — nous avons adoré cette ville, en particulier le centre-ville sur la Côte d’Azur. C’est de là que vient le nom.
Notre logo est un olivier. En venant du Royaume-Uni, voir un olivier pour la première fois était incroyable. Il fallait que ce soit quelque chose de personnel pour nous — et ça nous a paru évident. Cet arbre nous rappelle ce moment où nous avons emménagé en France, découvert une nouvelle culture, appris une nouvelle langue. C’est une part de notre histoire.
Qu’est-ce qui vous a donné envie de travailler sur les maladies rares ?
Je pense à beaucoup de choses. Par exemple, Sarah et moi avons eu des conversations où nous avons peu à peu réalisé que nous travaillions sur de nombreuses maladies rares — en les découvrant, en les étudiant, et en nous impliquant progressivement dans le processus.
Je pense à beaucoup de choses. Par exemple, Sarah et moi avons eu des conversations où nous avons peu à peu réalisé que nous travaillions sur de nombreuses maladies rares — en les découvrant, en les étudiant, et en nous impliquant progressivement dans le processus.
Je me sens vraiment chanceux. Étant en bonne santé moi-même, j’ai à cœur de contribuer, même modestement, au parcours de ceux qui vivent avec une maladie rare — en aidant à faire avancer des traitements qui peuvent réellement améliorer leur quotidien.
Comment définiriez-vous votre place dans l’entreprise Azur ?
J’espère être quelqu’un d’accessible. En tant que directeur des opérations, je ne veux pas que les gens aient l’impression qu’ils ne peuvent pas venir me poser une question — que ce soit à propos du travail ou de quelque chose de plus personnel. Je veux être une personne avec qui ils peuvent échanger et trouver des solutions ensemble.
Quelles sont vos activités et centres d’intérêt ?
Parfois, on se dit que tout tourne autour d’Azur Health Science ! (rires) C’est vrai que trouver un équilibre entre le travail et la vie personnelle devient un vrai défi. Et puis, avoir des enfants, ça change complètement la donne : on découvre des passions qu’on n’aurait jamais imaginées. Je n’aurais jamais pensé m’intéresser à l’escalade ou à la danse classique… mais ma fille adore ça, alors maintenant moi aussi !
Personnellement, j’aime beaucoup le vélo. Déménager en France a été génial pour ça — surtout avec toute la culture autour du Tour de France. J’adore aussi cuisiner. J’ai travaillé dans une boulangerie au Royaume-Uni et j’ai vraiment adoré cette expérience. Aujourd’hui, je cuisine pour ma famille, et c’est quelque chose qui me procure beaucoup de joie.
Si tu avais un vœux, professionnel ou personnel, qu’est ce que ce serai ?
Je répondrais de façon un peu drôle — parce qu’en réalité, je n’ai presque pas de souhait. Le parcours que j’ai suivi pour en arriver là m’a beaucoup fait grandir, et pouvoir obtenir quelque chose juste en claquant des doigts… eh bien, je ne suis pas sûr que ce soit une si bonne chose que ça.
For me, the real value lies in the journey itself—feeling like you’ve earned it, rather than just having it instantly. In a way, I already have what I wish for.
Pour moi, la vraie valeur réside dans le parcours lui-même — dans le fait de sentir qu’on a mérité ce qu’on obtient, plutôt que de l’avoir instantanément. D’une certaine manière, j’ai déjà ce que je pourrais souhaiter.
Un grand merci à toi Adrian
Merci d’avoir pris le temps pour nous partager ton histoire.
Votre parcours montre à quel point la résilience, la curiosité et l’attention aux autres peuvent façonner une trajectoire pleine de sens. Depuis vos premiers pas en rédaction médicale jusqu’à la cofondation d’Azur Health Science, vous avez construit quelque chose qui vous ressemble : réfléchi, accessible, et profondément engagé à faire grandir les autres.
C’est inspirant de voir à quel point vous mettez du cœur dans votre travail, et comment vous avez su transformer les défis en opportunités. Nous sommes heureux de vous avoir avec nous dans cette aventure.
Thanks again, Adrian, for opening up and sharing your journey with us.
Ce fut un vrai plaisir d’écouter votre histoire, et nous avons hâte de poursuivre ces échanges inspirants ici, sur Welcome to Azur. À très bientôt !
En attendant, explorez l’aventure Azur dans son intégralité.

